A propos
L’hypoplasie (poitrine de faible volume) ou l’hypertrophie (poitrine trop volumineuse) mammaire sont souvent mal acceptées physiquement et psychologiquement par les femmes qui les vivent comme une atteinte à leur féminité,
entrainant parfois de véritables complexes.
Pour pallier à ces complexes, des interventions d’augmentation et de réduction mammaire sont possibles.
L’augmentation mammaire
Que ce soit par l’implantation de prothèses ou par transfert graisseux, l’augmentation mammaire peut se pratiquer à tout âge à partir de 18 ans. Cette intervention se réalise sous anesthésie générale et ne donne lieu qu’à de très discrètes cicatrices. Un délai de deux à trois mois est nécessaire pour en apprécier les résultats définitifs.
En fonction du volume recherché le Dr Slama vous informera sur le type d’intervention le mieux adapté. A titre d’exemple, le transfert graisseux est réservé aux faibles augmentations mammaires (+ 1 bonnet) ou à la correction d’asymétries. Le Dr Slama vous conseillera également sur la taille des prothèses à choisir afin qu’elles s’harmonisent avec votre silhouette et vous offrent un résultat naturel.
La réduction mammaire
Cette intervention vise à réduire l’excès de volume mammaire, généralement associé à un affaissement des seins et parfois à une asymétrie. Elle permet d’obtenir une poitrine plus adaptée à la silhouette de la patiente et de soulager les désagréments physiques et fonctionnels qu’engendre une forte poitrine.
Lors de l’intervention réalisée sous anesthésie générale, le tissu mammaire en excès est retiré, ce qui entraine de légères cicatrices. Les résultats définitifs de l’intervention sont quant à eux observables sous un an.
La cure de ptose mammaire
La ptose mammaire se caractérise par un affaissement du sein et une distension de la peau qui l’enveloppe. L’intervention permet de replacer le mamelon en bonne position, remonter la glande mammaire et retirer la peau en excès afin d’obtenir une poitrine plus harmonieuse.
Certaines ptoses étant associées à une insuffisance de volume, une prothèse ou un complément graisseux peuvent être proposés afin d’obtenir un résultat optimal.
Cette intervention, pratiquée sous anesthésie générale, entraine des cicatrices proportionnelles à l’importance de la ptose. Les résultats peuvent être pleinement appréciés sous 12 mois.
La reconstruction mammaire
Suite à une mastectomie, la reconstruction du sein est possible en réalisant une intervention d’implant mammaire généralement suivie d’une reconstruction de l’aréole et du mamelon (une fois le volume du sein stabilisé).
Cette intervention permet d’obtenir des résultats naturels tout en limitant les cicatrices (celle de la mastectomie étant réutilisée pour l’insertion de la prothèse).
Dans certains cas, une intervention sur le second sein peut être proposée pour améliorer la symétrie. Enfin, dans le cas où l’intervention ne porterait que sur la reconstruction de la glande, une dermopigmentation (micro tatouage) permettra de simuler la présence de l’aréole et du mamelon.
